-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Première petite histoire...
Dans un petit village côtier méxicain,
un Américain rencontre un pêcheur en train de faire
a sieste.
-" Pourquoi ne restez vous pas plus longtemps en mer ?"
demande l'Américain.
Le Méxicain répond que sa pêche quotidienne
suffit à subvenir aux besoins de sa famille.
L'Américain demande alors :
-"Que faites-vous le reste du temps ?"
-"Je fais la grasse matinée, je pêche un peu,
je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme.
Le soir je vais voir mes amis. Nous buvons
du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie."
L'américain l'interrompt : "Suivez mon conseil : commencez
par pêcher plus longtemps.
Avec les bénéfices, vous achèterez
un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapportera ce bateau,
vous ouvrirez votre propre usine.
Vous quitterez votre village pour mexico,
puis New York, d'où vous dirigerez toutes vos affaires.
-"Et après ?" interroge le méxicain.
-"Après." dit l'Américain. Vous introduirez
votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
-"Des millions ? mais après ?"
-"Après vous pourrez prendre votre retraite, habiter
un petit village côtier, faire le grasse matinée, jouer
avec vos enfants, pêcher un peu,
faire la sieste avec votre femme, passer
vos soirées à boire et à jouer de la guitare
avec vos amis !"
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Deuxième petite histoire...
Un mec entre dans la chambre, une chèvre
dans les bras.
Sa femme allongée sur le lit était en train de lire
un livre.
L'homme dit : "Regarde chérie, c'est la vache que je
me fais quand t'as des migraines."
La femme répond : "Si t'étais pas con à
ce point tu te rendrais compte qu'il s'agit d'une chèvre.
"
L'homme sourit : "Si t'étais pas conne à ce point
tu comprendrais que je parlais à la chèvre "
|